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Écrire pour vivre
Ruines
J'étais abandonné à mon propre sort
De nombreux jours passèrent sans que je puisse sortir quoi que ce soit
Et les murs continuent de s’effondrer
Dans la ville que l'on aime
De sombres nuages apparaissent derrière les collines
Apportant avec eux l'obscurité des cieux
Mais si tu fermes les yeux
N'as-tu pas l'impression
Que presque rien n'a changé ?
Et si tu fermes les yeux
N'as-tu pas l'impression
D'être déjà venu ici auparavant?
Comment pourrais-je être optimiste ?
Nous étions emprisonnés et perdus dans tous nos vices
Dans cette position tandis que la poussière s'installe autour de nous
Oh, par où commencer ?
Par les ruines ou par nos péchés ?
Mais si tu fermes les yeux
N'as-tu pas l'impression
Que presque rien n'a changé ?
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